«Même si la protection juridique est incluse, mieux vaut la souscrire séparément.»

« Mes premiers pas dans le secteur se sont réalisés de manière quelque peu fortuite. Mon père était inspecteur dans une compagnie d’assurances, mais cela n’a pas réellement influencé mon choix. À l’époque, je travaillais comme commercial dans la vente de fournitures de bureau et j’offraisen parallèle, à titre indépendant, des contrats de mutualité. Je faisais cela en dehors de mes heures pour un bureau qui offrait également des assurances.

Mes performances ont été remarquées et le dirigeant m’a proposé de me spécialiser davantage dans les assurances. J’ai alors suivi des formations et obtenu mon agrément FSMA. Je travaillais initialement en tant que salarié, mais j’avais l’ambition de devenir plus indépendant et de constituer mon propre portefeuille de clients. Par la suite, j’ai eu l’opportunité d’ouvrir mon bureau à Waregem. Cela marquait le début de ma carrière indépendante. »

« Chaque client est différent. Certains sont bien informés et savent exactement ce qu’ils recherchent. Dans ce cas, je me concentre principalement sur l’écoute de leurs besoins et je propose des solutions adaptées, avec des produits pertinents et des conditions correctes. D’autres attachent plus d’importance à une prime basse ou, au contraire, à une couverture aussi complète que possible. Avec eux, nous recherchons ensemble un équilibre entre prix et protection.

Ce qui m’est essentiel, c’est la transparence. J’explique toujours clairement ce qui est couvert et ce qui ne l’est pas. Surtout pour les clients soucieux de leur budget, je précise quelles sont les limitations liées à une offre moins chère. Tout est expliqué de manière claire, afin que les clients puissent faire un choix éclairé et ne soient pas confrontés par la suite à des mauvaises surprises.

Nous résumons également chaque conversation dans un rapport écrit, afin que les clients aient noir sur blanc ce qui a été discuté. C’est un travail intensif, mais indispensable. À l’avenir, je souhaite utiliser des outils d’IA pour rendre ce suivi plus efficace. Le processus complet se compose souvent de plusieurs étapes : d’abord un premier contact, ensuite une analyse approfondie de la situation existante, suivie d’une proposition sur mesure. Nous passons ensemble en revue les options et, souvent, un second rendez-vous est prévu pour finaliser le choix. Surtout pour les indépendants et les PME, nous planifions un entretien d’évaluation tous les deux ans afin de vérifier si tout est encore d’actualité.

En ce qui concerne l’explication elle-même, nous utilisons un langage simple et compréhensible, et nous préparons un aperçu par type d’assurance, tel que auto, incendie ou responsabilité civile. Nous comparons les couvertures actuelles avec notre proposition, y compris les éventuels suppléments. Si quelque chose n’est pas clair, nous l’expliquons à l’aide d’exemples concrets, souvent basés sur des cas de sinistre possibles. Cela rend les choses tangibles et pertinentes.

Aujourd’hui, notre portefeuille est très varié. Personnellement, j’ai un vif intérêt pour les indépendants et les PME, mais grâce à des reprises, nous disposons également d’une vaste clientèle de particuliers. Ce sont principalement mes collègues qui s’occupent de ces dossiers privés. »

« Les situations qui me marquent le plus sont celles où des gros sinistres se produisent, comme un incendie. Ce sont des moments où l’on peut véritablement faire la différence en tant que courtier. Nous ne sommes pas seulement là pour le suivi administratif, mais aussi pour accompagner le client, offrir une aide pratique immédiate, superviser l’expertise des dommages et veiller à une gestion rapide et correcte du dossier. On essaie d’atténuer la souffrance en réagissant rapidement, en organisant des avancées et en veillant à ce que l’indemnisation soit payée de manière juste et rapide. Ce ne sont pas des dossiers quotidiens, mais ils illustrent l’impact que nous pouvons avoir.

Même dans des dossiers moins visibles, nous pouvons faire la différence. Je pense par exemple à un client pour lequel nous avions souscrit une police de protection juridique étendue. Au départ, il était assez sceptique. Lorsqu’il s’est retrouvé soudain dans un dossier douanier complexe et confronté à 25.000 euros de frais d’avocats, la police s’est révélée précieuse. Après vérification, le dossier était bien couvert, et les frais d’avocats étaient justifiés : tout a donc été entièrement pris en charge. De telles situations confirment pourquoi nous exerçons ce métier.

Une bonne police, des explications claires et un suivi personnalisé qui s’imbriquent parfaitement : ce sont des moments marquants, parfois même davantage pour le client que pour nous. Et c’est peut-être le plus beau des compliments. »

« La protection juridique n’est plus un luxe de nos jours, c’est une nécessité. Alors qu’il fallait autrefois convaincre les clients de son utilité, elle est devenue aujourd’hui une évidence. Qu’il s’agisse d’une infraction routière, d’un litige avec un fournisseur ou d’un problème juridique privé, les gens se retrouvent de plus en plus souvent confrontés à des situations où une aide juridique est indispensable.

Pour moi, la véritable valeur ajoutée réside dans une compagnie de protection juridique indépendante, telle qu’ARAG. Une telle société n’est pas liée à celle qui doit indemniser les dommages et agit donc en toute objectivité. Cela garantit un traitement neutre du dossier, ce qui peut faire une grande différence dans des situations sensibles.

C’est pourquoi, nous proposons toujours, dans notre bureau, une assistance juridique distincte. Nous n’intégrons pas cela dans la police principale, à moins que le client ne demande expressement un autre arrangement. Même si une protection juridique est incluse, nous conseillons de la retirer et de la souscrire séparément. Si un client choisit délibérément une autre approche, nous documentons cela dans l’analyse des besoins. Cela illustre à quel point nous croyons en la valeur ajoutée d’une protection juridique indépendante. »

« Non, mon opinion sur la protection juridique a toujours été le même. Depuis que j’ai commencé en tant qu’indépendant en 2007, j’ai toujours accordé beaucoup d’importance à une bonne assurance de protection juridique. Sa valeur ajoutée a toujours été claire pour moi : c’est un filet de sécurité essentiel pour les clients, et au fil des ans, cela n’a fait que gagner en pertinence. »

« La différence entre avoir ou ne pas avoir de protection juridique est souvent sous-estimée. Aujourd’hui, presque chaque famille est confrontée à un moment donné à la justice ou a besoin d’un avocat. Ce n’était pas le cas autrefois.
L’avantage de la protection juridique s’impose de lui-même. On constate que de plus en plus de personnes se trouvent confrontées à des frais juridiques, ce qui accroit naturellement la demande d’assistance. C’est devenu un sujet de grande actualité , et il faut de moins en moins d’explications pour convaincre les clients de souscrire une police de protection juridique. »

« En tant que client, je voudrais surtout comprendre pourquoi j’en ai besoin. Pas en termes abstraits, mais à travers des exemples concrets qui montrent dans quelles situations la protection juridique est vraiment utile. Par exemple : que se passe-t-il si vous avez un conflit avec un entrepreneur ou un problème juridique après un accident ? Ces situations rendent les choses tangibles. Je voudrais également connaître les coûts, clairement : voici le prix, voici ce que vous obtenez en retour. Quant aux exclusions, je n’ai pas besoin qu’on me les énumère toutes dès le départ, sauf si elles sont vraiment importantes. Cependant, si quelque chose d’essentiel n’est pas couvert, je souhaite, en tant que client, le savoir, bien entendu. »

« J’utilise généralement des exemples concrets et je compare également les coûts. Ainsi, les clients voient précisément combien une situation coûterait sans protection juridique et quelle est la différence s’ils sont assurés. Certains clients voient les choses sous un angle limité et à court terme. À première vue, cela peut sembler logique, mais la réalité démontre qu’un dossier peut parfois durer des années. Et c’est précisement là que la protection juridique fait la différence : sérénité, expertise et la certitude de ne pas avoir de mauvaises surprises. Et parfois, la pratique convainc plus vite que mes explications : un client ayant déjà vécu plusieurs sinistres comprend soudainement beaucoup mieux l’intérêt. Dans la plupart des cas, des exemples parlants et des chiffres clairs, suffisent pour convaincre rapidement. »

« Nous travaillons déjà depuis deux ans avec ARAG , en partie grâce à notre Business Advisor Franky. La collaboration se déroule très bien, surtout grâce au traitement rapide et efficace des dossiers de sinistres. Nous en sommes très satisfaits. »

« Le contact avec Franky est toujours fluide. Il n’est pas insistant, ce que j’apprécie énormément. D’autres inspecteurs passent plus souvent pour donner des informations superflues. Avec Franky, c’est différent : il vient quelques fois par an, et plus souvent lorsqu’’il y a une formation ou un sinistre. Il fait son travail parfaitement. »